Documents

Les deux bâtiments de la base Marret. Au loin le mont Rose sur l'île des Pétrels, l'île Lamarck puis le glacier de l'Astrolabe.

La base, est la proie à un violent incendie attisé par le blizzard. En quelques heures, il ne restera rien du bâtiment principal.

Vue générale du site de Port Martin que l'on distingue sur la falaise de glace du continent.

Incendie de Port-Martin, trois hommes, un chien à leurs pieds, observent, impuissants à la fin du sinistre.

Vue sur le sud de l'île des Pétrels où a été installée les deux bâtiments de la base qui deviendra plus tard "Base Marret".

La base Marret sous la neige et par un beau temps hivernal. A l'arrière plan, le continent.

Les deux bâtiments de la base Marret en d'été et l'hélicoptère sur sa plateforme récemment construite. Mer libre, beau temps calme.

Après l'installation de la base Dumont d'Urville, la base Marret, régulièrement entretenue, sert de base de secours.

Les activités extérieures à Port-Martin : les hommes vaquent à leurs occupations, un équipage prêt à partir en raid, deux weasels dont le weasel "Alfred".

La première base construite en 1952 sur l'île des Pétrels prendra plus tard le nom de Base Marret.

La base Marret en voie d'achèvement. A l'arrière-plan, le nunatak du Bon Docteur et le continent.

Vue plongeante sur le site de Port-Martin. Le pylône de l'éolienne, un weasel, les hommes et les chiens. Au loin, la banquise à perte de vue.

Les deux bâtiments de la base Marret et un weasel. Au loin le mont Rose sur l'île des Pétrels, l'île Lamarck puis le glacier de l'Astrolabe.

Il ne reste rien du bâtiment principal anéanti lors de l'incendie du 23 janvier 1952. Les hommes fouillent les décombres, en vain…

La base de Port Martin partiellement ensevelie sous la neige. En arrière-plan la tour et l'un des abris météo.

Port-Martin sous la neige dont on ne voit que le toit et le pylône de l'éolienne. Trois hommes s'affairent sur les caisses de matériels.

La base de Port Martin partiellement ensevelie sous la neige. En arrière-plan la tour et l'un des abris météo.

La base de Port-Martin sur laquelle régne le désordre d'après débarquement.

La base de Port-Martin en été, après le débarquement. Amoncellement de caisses de vivres et de matériels. Hommes, chiens et traîneaux.

Il ne reste rien du bâtiment principal anéanti lors de l'incendie du 23 janvier 1952. Les hommes fouillent les décombres, en vain…

Le site de Port-Martin : le pylône de l'éolienne, la tour météo, les antennes radio et un schelter. Beau temps calme.

La base vue en direction de la mer. Trois weasels au second plan. Le navire Commandant Charcot a mouillage. Beau temps, mer libre.

La base est un vaste chantier. Le chef météo André Prud'homme au premier plan puis, weasel tour météo, antennes…

Quatre hommes s'emploient au rangement du matériel débarqué. Au loin, la mer libre, beau temps calme.

Sur la base recouverte de neige fraîche, les hommes en compagnie de quatre chien. Un homme dans la tour, ciel bas.

Quatre hommes s'emploient à la récupération de caisses enfouies sous la neige. Beau temps calme.

Vue générale de la station : sondeur ionosphérique, mâts météo et radio, bâtiments principal et atelier.

Le site de Port Martin, au-delà de la base. Mer gelée, ciel nuageux, temps calme.

Les environs de la base : empilement de caisses, caisses et objets éparpillés, au loin un weasel.

Cinq hommes évacuent les déchets ménagers sur le tas d'ordures. Pratique aujourd'hui interdite...

Au petit matin, après l'incendie, sur les restes encore fumants, deux hommes recherchent ce qui peut être récupéré.

Deux hommes au centre de la base semblent examiner des dégats sur un abri. Au loin la tour et l'abri météo.

Deux hommes pour le déneigement à proximité d'un abri dont l'entrée semble endommagée.

Le bâtiment principal au cœur de l'hiver.

Le cuisinier Raoul Desprez creuse une cave dans le névé pour la conservation des aliments.

L'incendie de la base de Port-Martin s'est déclaré à 3:20 le 23 janvier 52. Les hommes impuissants et les chiens assistent au désastre.

Au petit matin, après l'incendie, la base complètement détruite. Les hommes à la recherche de ce qui est récupérable…

Pendant l'incendie, les hommes rassemblent et éloignent ce qui peut échapper aux flammes.

Pendant l'incendie, les hommes rassemblent et éloignent ce qui peut échapper aux flammes.

Pendant l'incendie, les hommes rassemblent et éloignent ce qui peut échapper aux flammes.

Au début de l'incendie de Port-Martin, deux hommes observent le sinistre, impuissants.

Au début de l'incendie de Port-Martin, deux hommes observent le sinistre, impuissants.

La base ravagée par les flammes photographiée depuis la tour météo.

Incendie de Port-Martin, trois hommes, un chien à leurs pieds, observent, impuissants à la fin du sinistre.

Deux hommes observent la base finissant de se consumer.

Au petit matin, le cuisinier Raoul Desprez examine les restes de l'un des groupes électrogènes

La base ravagée par les flammes photographiée depuis la tour météo.

Au petit matin, après l'incendie, sur les restes encore fumants, deux hommes mesurent l'étendue des dégats.

Au petit matin, après l'incendie, le cuisinier Raoul Desprez, récupère une poêle.

Au petit matin, après l'incendie, sur les restes encore fumants, trois hommes recherchent ce qui peut être récupéré.

Archives Polaires Françaises